BIENVENUE SUR MON BLOG

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samedi 30 novembre 2013

LES LOUPS DU MERCANTOUR

Vaste débat entre éleveurs et écologistes qu’est le maintien de la faune sauvage dans nos forêts ! Cela est vrai dans le Parc du Mercantour ou dans les Cévennes avec le loup, ou dans les Pyrénées avec l’ours.

En passionné de la nature et randonneur aguerri, Ernest Di Grégorio pose le sujet de cette cohabitation à travers un roman.

« La révolte gronde chez les bergers et les propriétaires dont les troupeaux sont soumis à de fréquentes attaques de loups. Ceux-ci se livrent à de véritables carnages, réduisant à néant le travail des éleveurs. Certains d’entre eux, au bord du gouffre financier, las de combattre ce fléau, mettent un terme à leurs souffrances morales en se suicidant.
Marie et François mènent une belle relation amoureuse. François, guide de haute montagne, est un fervent défenseur des loups. Il veut protéger cette espèce animale, qui selon lui, fait partie intégrante de la nature et en garantie la biodiversité ».

Et puisqu’il s’agit d’un roman et pas d’un essai fastidieux, il est aussi question d’amour et d’intrigue pour le plus grand plaisir du lecteur.




LES LOUPS DU MERCANTOUR, de Ernest Di Grégorio,
Editions Baie des Anges, ISBN 978-2-917790-43-4


NB : Je ne parle pas habituellement des couvertures de livres, mais la photo de celle-ci étant l’œuvre de mon ami Louis-Paul Fallot je ne peux qu’en dire le plus grand bien !

lundi 25 novembre 2013

DANS UN MAGASIN DE PORCELAINE

Si les salons du livre sont l’occasion d’agréables rencontres, entre auteurs passionnés et lecteurs amoureux des livres, il peut aussi arriver de moins agréables rencontres, heureusement fort rare.

Ainsi, m’est-il arrivé d’avoir maille à partir avec une vilaine, dont le terme enfantin utilisé ici ne m’est pas venu spontanément à l’esprit mais je tenais à vous dispenser, chers lecteurs, d’un terme plus trivial.

Alors que je revenais de la buvette où j’avais fait l’emplette d’un copieux sandwich rôti de bœuf-tomate-salade-cornichons (mais pas assez de cornichons) en compagnie d’une charmante consœur et amie, je constatais avec agacement qu’une personne perchée sur sa prétention hautaine avait posé son sac SUR mes livres.

En garçon bien élevé, et pour éviter une altercation verbale qui aurait probablement desservi tant la bienséance que la courtoisie en général, je déplaçais le sac Ȧ CÔTÈS de mes livres, ce qui semblait plus respectueux de l’ouvrage, de celui qui l’a écrit et de ceux (nombreux ce jour-là espérais-je) qui vont en faire l’achat.

Sylvaine (appelons la vilaine ainsi) m’informa aussitôt que le sac lui appartenait sans pour autant présenter la moindre excuse, même furtive.

Puis, après avoir achevé ma collation par un café, je tentais de rejoindre ma place dont l’accès était empêché par Sylvaine et ses amis, qui comprit enfin être assise sur la table d’un auteur, certes méconnu, et repris son sac en précisant seulement le nom du journal local qu’elle représentait comme pour justifier au mieux son sans-gêne, au pire son mépris.

Puis elle s’en fut, me laissant à mon calme olympien… en apparence !

En dehors de cet incident que je vous narre avec humour et dérision, ce salon a été l’occasion de nouvelles rencontres, d’échanges d’idées, d’élaborations de projets en commun ce qui est somme toute plus important que le dédain de Sylvaine.

Un blogueur c'est malicieusement caché sur cette photo.
Saurez-vous le retrouver ? (Photo 1001 livres)

mardi 19 novembre 2013

RENDEZ-VOUS, FAYENCE

Les samedi 23 et dimanche 24 novembre, je participerais au salon des métiers du livre de Fayence (Var), de 10 heures à 19 heures, Espace culturel

Venez nombreux !



dimanche 17 novembre 2013

CROSS DE LEVENS

Le grand pré de Levens sera le théâtre, début 2014, des championnats départementaux et régionaux de cross-country où notre club avait brillé en 2013.

En guise de répétition générale, avait lieu ce matin le 1er cross de Levens sur le même site. La marche nordique ouvrait le bal avant les courses enfants et la course adultes.

Le parcours intégralement sur herbe était ponctué de quelques petites bosses, fossés, talus, et autres obstacles pimentant le circuit.

Avec « Courir à Peillon » je me devais d’être présent à cette nouvelle course, un mois et demi après Millau et une reprise de l’entraînement contrariée par des blessures.

Si le premier couvre la distance en 30 minutes seulement (pour 8, 5 à 8,7 kilomètres selon les GPS et non 9,4 comme annoncé), il m’en faudra dix de plus pour franchir la ligne en 50e position (40’21’’)

le plaisir de retrouver la compétition, les sensations, l’ambiance, les accélérations dans le final, les copains, ne sont pas de vains mots, ces petits plaisirs-là m’ont manqué !

Cette course étant une première, nul doute que les organisateurs se pencheront dans les prochains jours sur les petits détails d’organisation afin de proposer un championnat départemental sans faille. 


Le groupe de tête (photo organisation)


dimanche 10 novembre 2013

NICE-CANNES EN EQUIPE

« Courir à Peillon » n’avait pas fait les choses à moitié pour ce 6e marathon Nice-Cannes. Le club le plus convivial de la Côte d’Azur avait fait de cette course son grand rendez-vous automnal et ce n’est pas moins de 21 peillonnais qui se sont retrouvés ce dimanche entre Nice et Cannes sur les différents formats de courses proposés. Quatre ont courus le marathon, un duo, deux relais de six coureurs sans oublier nos indispensables supporters.

Sans conteste, le héros du jour est Sébastien CHEVROLIER.

Sans conteste, le malveillant du jour fut Eole.

Sébastien, pour son deuxième marathon Nice-Cannes sous les couleurs peillonnaises, après un brillant chrono de 3 heures 16 en 2012, transforme largement l’essai cette année en passant sous la barre mythique des 3 heures, couvrant la distance en 2 heures 54 (classé 74e sur 6912) !

Quant aux souffles célestes, ils ne se contentèrent pas d’une simple présence sympathique, mais troublèrent en véritables bourrasques la progression des coureurs.

Je ne participais qu’au relais, le 6e et dernier de l’équipe à porter nos couleurs, j’ai vu des tables de ravitaillements se vider de leur contenu par le vent. Avec la sensation de courir à l’arrêt, la tête en avant pour mieux avancer, je pensais aux coureurs à mes côtés qui luttaient avec plus de 36 kilomètres derrière eux, tandis que je me contentais de 6 petits kilomètres.

Puis quelques gouttes de pluie ont fait leur apparition, pour clore la matinée en apothéose !

Forcément, cette météo n’a pas favorisé les chronomètres, mais l’exploit de notre ami Sébastien, les honorables performances des 3 autres marathoniens vert et blanc (Jean-Claude 3 h 43’, Stéphanie 4 h 29’, Marie-Josée  4 h 54’), et le sentiment de chaque relayeur d’avoir fait le maximum (les deux équipes se classent 6e et 18e sur 392 en respectivement 2 h 41’ et 3 h 05’), méritaient bien un réconfort autour d’une table de restaurant.


Pour ma part, mon temps de course (malgré le Mistral) et la disparition d’une vilaine douleur « post 100 km » ont fait de moi un coureur heureux.


vendredi 8 novembre 2013

RENDEZ-VOUS, VENCE

Je dédicacerais mon livre le samedi 16 novembre, à partir de 15 heures 30, à l'espace culturel Leclerc, 195 place du Grand Jardin, à Vence

Venez nombreux




mercredi 6 novembre 2013

DE LA PASSION A PIERREFEU

Que ce soit en visiteur ou comme auteur, je suis toujours impressionné de voir dans les salons la diversité des ouvrages présentés.

Tant de passions partagées, d’histoires racontées, de lieux visités, des styles, des combats, des souvenirs se côtoient sur des thèmes aussi vastes que le cyclisme, la mythologie, la guerre d’Algérie, l’Afrique, le monde carcéral, les îles méditerranéennes, la religion, la philosophie…

Cela est évidemment encore plus vrai dans les « petits » salons, ceux où il n’y a pas de vedette du livre, du sport ou du petit écran, seulement des auteurs et des passionnés de la vie de tous les jours.

A Pierrefeu du Var, mon tout premier salon ce dimanche, les auteurs sont accueillis avec enthousiasme et convivialité et à défaut d’être un record de vente il restera un souvenir de ces rencontres. Parmi elle, l’auteure Liliane CESARI présentant les deux premiers tomes des « Douze élus de Zeus » dont vous pouvez désormais suivre le blog en lien sur cette page (où en cliquant ICI).


Pierrefeu, dimanche 3 novembre (Photo Anne-Lise)


dimanche 3 novembre 2013

SEISME

L’un avait regardé la télévision, l’autre avait lu un livre. Peu avant vingt-trois heures ils avaient décidés sans se concerter, qu’il était temps d’aller dormir. Ils se sont embrassés et souhaités bonne nuit, leurs baisers se sont prolongés, ils y ont ajouté quelques caresses, se sont enlacés, leurs bouches et leurs mains parcouraient sensuellement le corps de l’autre.

Les murs ont tremblés une première fois sans qu’ils ne s’aperçoivent de rien, la première secousse était si faible et leur amour si fort.

Ils poursuivaient leur étreinte et se susurraient des mots d’amour à l’oreille quand les murs de la ville entière ont tremblés une seconde fois. La seconde secousse était si forte.

La nuit entière et les jours suivants les pompiers venus de toute la région et des régions voisines tentaient de dégager des survivants de la catastrophe, les associations humanitaires distribuaient vivres et couvertures, les caméras du monde entier envoyaient aux chaînes de télévision des images diffusées en boucle.

Quelques jours après ce que les sismologues qualifiaient déjà de plus grande catastrophe jamais enregistrée sur l’échelle de Richter, une petite fille de sept ans fut retirée vivante des décombres. Tout le monde se réjouissait de cette miraculée.

Le bilan humain était lourd, de nombreux disparus gisaient sous les gravats devenus des sarcophages de bêton.

Le séisme aurait eu lieu à dix-huit heures, que des hommes et des femmes auraient été surpris dans leurs voitures en rentrant du travail. A dix-neuf heures les familles auraient été réunis, certains dînant, d’autres écoutants leurs enfants réciter leurs leçons.

A Vingt-trois heures pour que la terre tremble c’est une bonne heure.

Les recherches se sont arrêtées sans que personne n’ait jamais retrouvé un homme et une femme dont la dernière action sur la terre fut de s’offrir mutuellement du plaisir en se parlant d’amour.


vendredi 1 novembre 2013

BERLIN 2014 !

Les organisateurs du marathon de Berlin ont modifié pour 2014 le mode d’attribution des 40 000 dossards, afin d’éviter une phase d’inscription éclair comme l’an passé où les précieux sésames sont partis en 3 heures et demie.

Place donc à un tirage au sort.

74 707 marathoniens ont tentés leur chance, le verdict tombait hier soir (31 octobre) et j’ai eu l’agréable surprise de faire partie des heureux élus. Désormais, j’ai jusqu’au 11 novembre pour confirmer mon inscription (en d’autres termes, pour payer), les dossards non confirmés après le 11 feront l’objet d’un deuxième tirage au sort.

Le club « Courir à Peillon » aura deux représentants à Berlin, puisque un autre sociétaire peillonnais a reçu la même bonne nouvelle que moi.

Ce sera la 41e édition du marathon de Berlin dont l’arrivée et jugée Porte de Brandebourg, et 2014 sera également le 25e  anniversaire de la chute du Mur.

Pour ma part, ce sera mon 9e marathon.

Ainsi, mon programme de course pour 2014, s’établit désormais comme ceci :

5 janvier              Prom Classic, Nice,                    10 kilomètres
23 février            Semi-Marathon, Cannes             21,1 kilomètres
6 avril                  Rondes des collines, Nice          17,5 kilomètres
18 mai                Course du Viaduc, Millau            23,7 kilomètres
28 septembre    Marathon, Berlin                           42,195 kilomètres

Sans oublier la pérégrination familiale sur le GR 65 qui aura lieu fin avril, départ de Moissac (Tarn et Garonne) pour traverser le département du Gers.

Pour le coup, ma seconde tentative au 100 km de Millau est reportée à 2015 !

Bon, allez hop, à l’entraînement maintenant !

Porte de Brandebourg, décembre 1989

Porte de Brandebourg, actuellement