BIENVENUE SUR MON BLOG

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samedi 29 novembre 2014

jeudi 27 novembre 2014

Прием (Bienvenue)

ствуйте на Этой неделе, я наблюдаю , что на этом журнале Русские посетители более многочисленные что французские люди. Это удостаивает меня, чтобы узнать, что мой журнал имеет с этого времени международное измерение (размер) и я приглашаю всех моих иностранных посетителей: Русские, Американцы, Немец, Британцы, Украинец, Польский язык, Китайцы, Бельгийцы, Канадцы, люди из Монако, Алжирца или Литовца.

Магия blogosphere !!


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Cette semaine, j’observe que sur ce blog les visiteurs russes sont plus nombreux que les français. Cela m’honore d’apprendre que mon blog a désormais une dimension internationale et je souhaite la bienvenue à tous mes visiteurs étrangers : Russes, américains, allemands, britanniques, ukrainiens, polonais, chinois, belges, canadiens, monégasques, algériens ou lituaniens.

Magie de la blogosphère !!



samedi 22 novembre 2014

UN PEU DE NOUS

Le premier recueil de poésie de Manon VERMERSCH débute comme l’envoi d’une bouteille à la mer et invite le lecteur à trouver la clé d’un code poétique (Vérité cachée).

Au fil de sa vie, Manon évoque l’amour, la déception, le rêve, le désir, le regret ou la mort. Il ressort de ses mots une sensibilité à fleur de peau dans des textes contrastés allant de la douceur jusqu’à parfois une certaine violence (Etat de choc, Poupée).

L’auteure observe aussi avec tendresse la vie, les instants, les lieux (je crois connaître la librairie de Jean-Paul), ainsi que son histoire vécue, son enfance, avec du recul.

On savoure aussi les doubles lectures de certains poèmes (fil d’année).  


Les textes de Manon sentent la spontanéité de la jeunesse. 




UN PEU DE NOUS, de Manon VERMERSCH
Editions VALROSE, ISBN :978-2-9529355-6-2





mardi 11 novembre 2014

RELAIS DU PAN BAGNAT

Malgré la pluie et quelques désistements, le relais niçois traditionnellement couru le 11 novembre au Parc Estienne d’Orves a bien eu lieu.

Le principe de la course et simple, chaque équipe de relayeurs, composée d’au moins une femme, parcourt un tour de circuit de 4,5 kilomètres, en commençant nécessairement par une relayeuse. Le quatrième tour est effectué par le trio.

Si Courir à Peillon annonçait fièrement trois équipes, les aléas climatiques ont honteusement fait renoncer deux relayeurs. Fort heureusement, le troisième larron du trio a trouvé deux équipières et la convenance m’empêche de préciser s’il y eu ce fameux plus si affinité.

Angélique, Jérémy et Julien formaient ainsi l’équipe des jeunes de Courir à Peillon, Chantal, Philippe et moi représentions par conséquent les anciens les plus expérimentés.

Nos relayeuses avaient placés la barre très haute en achevant leur boucle aux sixième et septième places.

Alors que j’encourageais enthousiaste Angélique, je ne vis pas Chantal arrivant quelques mètres après elle et ratais ainsi le passage du témoin, sans que cela n’ait de conséquence sur le classement final.

Tandis que Jérémy s’éloignait rapidement de mon champ de vision, je m’efforçais de maintenir la position de l’équipe au classement. Une place perdue, une de reprise, le contrat est rempli alors que Jérémy, de son côté, a repris plusieurs positions au classement que Julien maintiendra longtemps, le trio se classera troisième de la course, signant ainsi le deuxième podium par équipe de la saison après l’Ekiden de Fayence.

Philippe, de son côté, s’efforcera de donner le maximum dans son relais avant notre boucle en trio où les places perdues ne sont rien mesurées au plaisir de courir entre amis.

Quant à la pluie, seules les relayeuses ont finalement dû l’affronter, l’éclaircie promise était au rendez-vous après le départ de ces dames.




PS : Notons que, fort heureusement, le témoin de relais est une simple tape dans la main de son équipier, est n’ait pas constitué d’un pan bagnat. Le sandwich niçois est distribué à chaque relayeur après la course.


Le départ pluvieux des relayeuses (photos Claude)


Jérémy, Angélique, Julien (photos Claude)

Chantal, Philippe, Antoine (photo Claude)

Hubert entouré de ses équipières d'un jour (photo Claude)



Les liens :

dimanche 9 novembre 2014

MARATHON NICE-CANNES

Carine sur la Croisette

Je rassure tout de suite mes lecteurs les plus assidus qui s’inquiéteraient en voyant le titre de ce billet, je n’ai pas couru ce marathon 6 semaines après mon escapade berlinoise !

Non, l’activité du jour, outre une sortie en vélo, consistait à venir encourager les amis.

Le premier exercice consistait à éviter que la police m’invite à quitter le parcours de la course, ce qui, cette année s’est avéré être une activité plus aisée que les éditions précédentes bien qu’il me fallut tout de même faire un crochet à Saint Laurent du Var.

Puis, à Cagnes sur Mer, je m’installais à la terrasse d’un café pour attendre le passage des coureurs, non sans avoir commis un excès de vitesse délibéré sur la piste cyclable de Cagnes sur Mer limité à dix kilomètres heure -c’est dire si l’on bascule facilement dans l’excès- je me sens parfois un esprit rebelle et provocateur.



L’avantage d’un marathon par rapport à une étape du Tour de France et que les spectateurs sont beaucoup moins nombreux ce qui permet de bavarder devant un café jusqu’à la dernière minute.
photo FP

Au premier peloton de coureurs kényans suivra la multitude de coureurs partis à l’assaut de la distance reine de la course à pied.

Après avoir encouragé longuement la plupart des amis -ceux que j’ai réussi à voir- et les trois athlètes de Courir à Peillon, j’ai suivi la course chez moi sur Internet.

Malgré la pluie et le vent qui feront leur apparition remarquée sur le parcours, les Peillonnais achèvent tous leurs courses avec succès.


En 3 h 08, Sébastien aura gardé le sourire jusqu’à Cannes, fidèlement suivie par Christine, à moins que ce ne soit l’inverse. Greg (3 h 27) et Carine (3 h 46), en néo-marathoniens, atteignent leurs objectifs respectifs.

Séb et Christine (photo FP)

Greg (photo FP)

vendredi 7 novembre 2014

A PROPOS DES VIEILLES CANAILLES

Hier soir, dans son émission "Si tu écoutes j'annules tout" sur France Inter, Charline Vanhoenacker illustrait la série de concerts communs de Johnny, Eddy et Dutronc (143 ans à eux trois) par un extrait de cette chanson de Richard Gotainer.


Pour être complet, votre dévoué blogueur, vous propose l'intégrale du titre.



lundi 3 novembre 2014

CARTOON-UP

C’est tout à fait par hasard, cet été sur la Place Masséna à Nice, que nous avons fait connaissance de Romano Vivarelli et son humour tex-averyesque.

Réseau social aidant, je me suis empressé de me mettre à l’affut des prochaines dates de spectacles de Romano à Nice où mon attente fut enfin comblée fin octobre.

L’énergie explosive de l’artiste, ses mimes, ses scènes surréalistes, sa complicité avec le public, jusqu’à une hilarante improvisation donnent un spectacle d’une grande qualité.


Les dates des spectacles de Romano Vivarelli sont à suivre sur Facebook ou sur le site billetréduc


LA MOUGINOISE

Le parc de la Valmasque était cette année le théâtre du lancement de la saison des cross avec deux formats, 5,5 et 11 kilomètres.

Pour l’occasion, je retrouvais avec plaisir ce parc départemental dans lequel je me suis tant entraîné pendant des années en l’arpentant sur chaque sentier (et il y en a !).

L’occasion aussi de revoir de nombreux camarades d’entraînement de l’époque, dont l’ami Pascal qui m’avait embarqué sur ma première course, sur ce lieu même, il y a précisément 14 ans. A l’époque, il m’avait devance de 4’30’’ sur 8,5 km. Mais ça c’était avant. C’était le dernier cross Nice-Matin sur le site avant qu’il soit délocalisé à Fréjus, puis déprogrammé définitivement ensuite.

Puisque mes camarades de Courir à Peillon, qui n’ont pas connu cette époque, ces chers petits, aiment mes tee-shirt antédiluviens, j’avais pris soin, pour l’échauffement, de prendre un de ces vieux maillots délavés en coton qu’ils affectionnent. Celui de ce matin, avait été imprimé en 2005 pour une course en duo baptisée « Elle et Lui », couru également dans ce parc de la Valmasque, avec Fanny où nous nous étions classés honorablement à la 7e place (sur 58), hélas, seuls les 6 premiers étaient récompensés !

Nous n’avons plus jamais eu l’occasion de renouveler notre brillant duo, la course n’avait eu lieu qu’une seule année avant de disparaitre du calendrier.

Fin de la séquence nostalgie.

Ce matin donc, nous étions sept participants du club « Courir à Peillon » ce qui rendait heureux l’entraîneur que je suis désormais, tant je leur ai asséné les bienfaits et les mérites musculaires du cross-country.


Ainsi, aux athlètes aguerris à l’exercice, c’était joint Thierry et Magali, pour leur premier cross, non sans donner le maximum d’eux même ni sans reconnaitre –en tout cas Magali- « avoir adoré ». 

Juju , Président de Courir à Peillon (photo FP)