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samedi 25 avril 2015

LA FIANCÈE DES CORBEAUX

L’auteur de polars nous ouvre les portes de son univers privé.

A travers les paysages de la Provence et de Manosque, René FRÉGNI écrit dans un cahier chaque jour de sa vie d’homme seul comme on peut l’être à l’âge où les enfants vivent heureux sans nous.

Seul malgré les amis proches, l’ancien dont la mémoire s’évade, l’ami fidèle dont on se doute que la vie n’est pas très sage. Seul malgré la mystérieuse Isabelle.

Dans sa solitude, l’homme observe la Provence, rencontre une auto-stoppeuse insensée, invente la vie d’un trio de colocataires, se souvient de son passé et de sa mère.


L’écriture sensible est délicate nous fait vivre un doux moment.




La fiancée des Corbeaux, René Frégni, Editions Gallimard, ISBN 978-2-07-013221-8

mardi 21 avril 2015

MARATHON DE NANTES

Mon dixième marathon ne pouvait avoir lieu que dans ma ville natale, accompagné de deux acolytes de club et non sans quelques déboires de transport que fût un avion raté pour l’un d’entre eux, mais l’accueil familial chaleureux dissipera vite ce malheureux contretemps.

Passage indispensable au village marathon pour le retrait du dossard, bavardages sur les stands, dégustation de vins de Loire ce qui n’est pas très sportif, j’en conviens, mais il fallait faire passer le goût infâme de la boisson énergétique du sponsor Etixx (nommons-le), que nous prendrons soin d’éviter sur les ravitaillements du lendemain sur la course.

La météo est une des préoccupations du marathonien, et si nous sommes satisfaits de la température comme de l’absence de pluie, le vent en revanche pourrait jouer les arbitres.

Sur le parvis de la cathédrale, ce dimanche matin, je dois courir à l’ancienne, c’est-à-dire sans montre GPS, oubliée à Nice. Je crains un peu cette contrainte de dernière minute mais il est trop tard pour se lamenter, je suis dans le sas de départ avec une pensée pour David et Jean-Claude.

Ce marathon se court en deux boucles, la première faisant une incursion à Trentemoult, pour le reste la visite marathonienne nous conduira sur le cours des 50 otages, Saint-Sébastien, les anciens chantiers navals habilement réaménagés, les machines de l’île et son célèbre éléphant, la place Royale, la place Maréchal Foch (dite place Louis XVI), Gambetta, le jardin des plantes. Les derniers kilomètres nous conduisant à la cité des congrès en longeant le canal Saint-Félix.

Comme prévu, le vent complique largement la tâche des presque 4 000 participants et les passages sur la Loire ne facilitent évidemment rien. Les quelques côtes du parcours semblent plus raides au deuxième passage.

Finalement, si je me suis bien débrouillé de cette course sans montre sophistiquée, le vent a bel et bien eu raison de moi au trente-sixième kilomètre, l’allure baisse sévèrement dans la deuxième montée de la rue Tournefort, si bien nommée quand on lutte contre Eole.

Je tenterais péniblement de relancer, mais la deuxième montée du jardin des plantes au trente-huitième kilomètre met un terme à l’idée de battre mon record milanais.

En 3 heures 28 minutes et 41 secondes, je signe cependant mon deuxième meilleur chrono sur marathon. Quand à mes deux camarades, Jean-Claude réalise son troisième meilleur temps depuis qu’il est vétéran en 3 heures 38 –ce qui est une satisfaction pour l’entraîneur que je suis désormais- et David termine en 4 heures 17 une course qu’il n’avait pas pu préparer.


L’après-midi fut consacré au farniente sous le soleil breton de la maison maternelle, tout en esquissant le projet du marathon 2016 ! 

Départ imminent (photo organisateur)

deuxième passage au Jardin des Plantes

Le long de la Loire


dimanche 12 avril 2015

FLEURS DU PRINTEMPS


Aux premiers jours d’Avril
Dans les jardins de nos villes
Les oiseaux sifflent leurs chants

Et renaissent les fleurs du printemps





samedi 4 avril 2015

LES SILENCES ASSOURDISSANTS

C’est avec les Éditions VALROSE que débute pour moi une nouvelle aventure d’auteur !

« Quatorze nouvelles dans ce nouvel opus, dont le thème principal est le silence, à travers le secret, la solitude, les souffrances muettes. Sans prendre parti sur des faits d’actualité ("Les larmes de Sarah"), l’auteur raconte des histoires en observateur, parfois avec humour ("Le nounours") ou en se laissant aller à la nostalgie ("Ludovic et Madame Jourdain"). Il se projette aussi dans le futur ("Romain"). La principale nouvelle ("Ces blessures-là") est l’histoire de Jean-Michel, un berger, qui a fui son passé. Sa fille voudra connaître la vérité sur cette famille qui est la sienne. »

Pour que ce projet voit le jour, j’ai fait le choix du soutien participatif.

Les cinquante premiers futurs lecteurs peuvent soutenir le projet en souscrivant avant le 31 mai 2015 sur le site des éditions VALROSE, ils bénéficieront ainsi d’un livre au tarif préférentiel, d’une dédicace personnalisée, des frais d’envois offerts et de l’avant-première de la parution prévue le 30 septembre prochain au plus tard.

Si vous avez aimé mon précédent recueil, si vous souhaitez contribuer à la naissance d’un livre, ou simplement par amitié, souscrivez sans tarder !

Je vous en remercie par avance,


À très bientôt.