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vendredi 2 novembre 2012

LA FUTILITE SEMBLE ESSENTIELLE


Un de mes amis, blogueur et marathonien, dont vous pouvez lire les textes sur le blog SINGULIER PLURIEL (lien à droite sur ce blog et en cliquant ici), se livre parfois à des réflexions personnelles dont l’intérêt me dépasse.

Je laisse délibérément de côté ses commentaires politiques que nos lecteurs, communs ou non, prendront le soin d’étudier, mais je me suis amusé c’est après midi d’une observation de cet ami sur un réseau social à propos de la mention « Finisher » qui ne figurait pas sur le tee-shirt du marathon de dimanche ce qui allait dénaturer sa collection de tee-shirt finisher de marathon, étant précisé par l’intéressé qu’il ne portait pas les dits tee-shirt.
Le futile semblait essentiel !

l'armoire de Claudio (extrait)


Ce que je préfère dans les billets de mon ami bloggeur et marathonien ce sont ceux qui racontent des histoires. Il décrit si bien les choses futiles et je vous laisse le soin d’apprécier ses textes sur « La princesse du Mont Boron » ou « Un vieux drap de coton blanc », si essentielles à mes yeux.

La sympathie que j’ai pour toi, Claudio, valait bien que je te taquine sur un billet de blog !
Bon marathon dimanche, tu auras un super sac à dos « Finisher » !

Le Mont Boron, Nice

1 commentaire:

  1. D'abord, Cher Antoine, merci de me faire rire, bien rire, avant d'aller bien dormir j'espère.
    Ensuite merci pour tes compliments.
    Enfin, tu rejoins la cohorte de ceux qui ne me reconnaissent pas dans l'importance que j'ai mis sur ce "Finisher". Ma femme a même osé un "tu nous fais un caca nerveux, là" :-) Bah voilà, j'étonne mon monde. J'ai mes bugs moi aussi, comme tout un chacun.
    Et encore, tu ne sais pas tout : Lors de ma visite au village marathon, je me suis mis un peu en colère. Un peu. Mais même un peu, ça ne m'était pas arrivé depuis un bon nombre d'années. Figure-toi, qu'il me vient l'idée d'entrer avec Madame par l'entrée "Village", celle que tu as dû prendre. Les coureurs avaient une autre entrée, plus loin, que j'aurais dû prendre. Alors le vigile m'a obligé à "me taper" tout le parcours des stands, ressortir dehors, longer de nouveau tout le chapiteau et rentrer au bon endroit, alors qu'il me suffisait de revenir 3 mètres en arrière. Après toutes les politesses que tu imagines, je finis par me fâcher un peu. J'obtempère et je cherche les responsables de l'organisation, raconte mon histoire et leur demande de faire le nécessaire pour planter le vigile à l'entrée extérieure, ou d'en trouver un moins abruti avec un minimum de bon sens ! Haussement d'épaules. Voilà. Maintenant, je n'ai plus qu'à courir et si quelque chose doit m'agacer dimanche, ce ne sera, ni la pluie, ni le vent, mais, à coup sûr, l'orchestre planté au 42ème kilomètre qui nous balance, chaque année, des décibels insupportables au pire des moments et, accessoirement, les gens déguisés qui sont là en touristes pour nous déranger. Tu vois, le futile, c'est pas mon truc... enfin c'est ce que je croyais avant la lecture de ton sympathique billet. Merci pour cette Une en tous cas. Amitiés.

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