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dimanche 28 janvier 2018

DE CHAUMONT À PARIS


Que faire à Chaumont (Haute-Marne) en janvier ?

En ce qui me concerne, je n’avais jamais mis les pieds dans cette bourgade champenoise avant ce 19 janvier 2018 et cela ne se reproduira sans doute plus.

Ce jour-là, et c’était bien le but de mon voyage, se déroulait la cérémonie de remise des galons de la 484e promotion d’élèves-gendarme de l’école chaumontoise.

Le chiffre 484 a une belle symétrie et on voit d’un seul coup d’œil qu’il est multiple de onze, ceux qui ont eut besoin de vérifier sur une calculatrice ont découvert amusé que c’est mon département de naissance (lui-même multiple de onze) que l’on a multiplié par onze.

Mais je me battrais assez volontiers les rouflaquettes autant que je m’en lisserais les bretelles de cette 484e promotion si mon fils aîné n’en était pas un des récipiendaires.

Ainsi, Daniel devenait officiellement sous-officier de gendarmerie après huit mois de formation qui faisaient suite à une formation initiale à Tulle (Corrèze) et une première affectation à Mions (Rhône).

Il rejoint dès demain sa nouvelle brigade d’affectation à L’Union (Haute-Garonne).




Que faire ensuite à Chaumont (Haute-Marne) en janvier quand il pleut et que quelques flocons virevoltent ?

Rien. Si ce n’est aller acheter un jeu de tarot acheté au dernier instant car oublié pour la dixième fois par mes fils et moi et allez avec les dits fils dans un édifice dédié au divertissement et à la consommation de boissons (bar ou salon de thé par exemple).


Que faire le lendemain à Chaumont (Haute-Marne) en janvier quand il pleut, que quelques flocons virevoltent, et que les fils susdits repartent ?

Rien toujours. J’ai donc rendu le gîte de campagne, très agréable au demeurant, un jour avant le délai prévu, restitué le véhicule de location avec la même anticipation et prit un train pour la capitale.
À Paris, dont le zouave du Pont de l’Alma ne faisait pas encore la une de tous les journaux télévisés, j’ai passé une soirée solitaire dans un théâtre.

La pièce « Fausse note », magnifiquement interprétée par Christophe Malavoy et Tom Novembre, est un thriller psychologique entre un chef d’orchestre renommé et un admirateur intrusif et dérangeant. Quel secret porte cet admirateur ? Qui est-il vraiment ? Et surtout que veut-il ?

Le dimanche matin à Paris étant autant pluvieux qu’à Chaumont, est tandis que quelques amis azuréens me narguaient en publiant des photos et des informations météorologiques printanières, j’abandonnais l’idée d’un footing matinal sur les bords de Seine pour une salle de cinéma.

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