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mardi 13 février 2018

DE REDIFFUSER "ON LES NOMME HOMMES DE FER"


Samedi soir dernier j'ai eu l'occasion de bavarder avec Gaëtan, dont il est question ci-après, lors d'une soirée chez Christine et Nicolas, dont il est également question ci-après, des amis communs.

Gaëtan m'a reparlé du billet ci-dessous reproduit, datant de juin 2013, en me disant qu'il aurait plaisir à le relire. 

Ce qui est donc fait.


"Parmi les défis sportifs les plus difficiles, le triathlon longue distance (dit « Ironman ») figure sans conteste sur le podium.

Dimanche, à Nice, après des semaines de préparation, près de 3 000 concurrents s’élançait dans la Méditerranée pour 3,8 kilomètres de natation à l’heure où le jour est à peine levé. Pendant plus d’une heure pour la plupart, les nageurs affrontent la première épreuve du jour dans un balai de mouvements de crawl.

Une fois passé cette mise en bouche, les athlètes partent ensuite pour un périple de 180 kilomètres dans l’arrière-pays niçois notoirement vallonné.

Il s’en suivra un marathon.

Piètre nageur, je suis bien incapable de participer à ce type d’épreuve… Pour l’instant ! Venir ici en spectateur, pour le plaisir d’encourager l’exploit sportif, j’ai pensé que le triathlon était une bonne raison pour moi de me mettre à apprendre à nager correctement.

Grâce à Internet, j’ai pu suivre en direct les temps intermédiaires de deux d’entre eux, Nicolas et Gaëtan qui boucleront l’épreuve respectivement en 12 h 12’ et 11 h 8’ avant d’aller les encourager de la voix sur le marathon.

Nicolas me dira plus tard que les encouragements lui étaient bien utiles et reconnaîtra avoir marché un peu (on l’absout volontiers). Gaëtan, que je connais très peu (c’est le compagnon d’une amie), a probablement été surpris des encouragements de cet inconnu au chapeau.

Peu importe le temps du premier, 2 783 concurrents ont passés la ligne d’arrivée. 2 783 prouesses."


Cet été, Karine, la compagne de Gaëtan, tentera le même défi et s'y prépare déjà. Je la sais battante et volontaire, je ne doute pas qu'elle ira au bout de son rêve et je l'en encourage par ces quelques lignes.

NB : Pour autant, je nage toujours aussi médiocrement cinq ans plus tard et il n'est pas demain le jour où je crawlerai crânement dans la Méditerranée. 




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