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mercredi 1 mai 2013

COURSE DU MUGUET (CANTARON)


Ce matin à Cantaron, chacun s’accordait à dire que le beau temps enfin revenu remettait du baume au cœur des athlètes.

« Courir à Peillon » était venu en force, du cadet au vétéran 4, tant sur la marche de 8 kilomètres que sur la course de 11,3 kilomètres ou, plus tard, sur les podiums.

C’était ma première course depuis le marathon de Milan, j’avais plaisir à retrouver les copains, les habitués, et de narrer encore mes prouesses milanaises au risque de lasser mes interlocuteurs.

David, l’organisateur du trailLaïssa-couré, m’interpelle pour savoir si je serais sur sa course en septembre. Hélas non, je serais à Millau, mais j’ai beaucoup aimé cette course et la recommande.

Les marcheurs s’élançaient en premier, suivi de la Joëlette de l’association « Trail pour tous » et enfin les coureurs.

Si les nostalgiques de la version trail de la course, plus longue et plus dénivelée, maugréait sur le bitume, la plupart partait le pied léger sur ce parcours de routes et de sentiers.

Un peu trop enthousiaste, je partais à bonne allure, tel un débutant qui ne sait pas encore gérer son départ. Ce genre d’erreur ne pardonne généralement pas et j’optais vite pour l’option marche alternée dans les pentes raides du parcours.

Quel affront personnel de se voir distancé par le drapois Stéphane, mon meilleur adversaire, qui fut très heureux de me distancer dès la mi-course alors qu’il n’en demandait pas tant (on se reverra à L’Escarène !)

Plus tard, sachant Michèle proche, je l’attendais pensant qu’il serait plus motivant de courir entre équipier peillonnais. Il n’en fut rien, je n’ai pu me maintenir près d’elle qu’une centaine de mètres, peut-être deux, avant de ne plus la revoir. Ni de l’entendre, puisqu’à vrai dire, si je l’ai su proche ce n’est pas que je l’ai vu (je ne cours pas en marche arrière) mais bien que je l’ai entendu arriver ! (j’ai honte d’avoir écrit cela, j’espère que le copier-coller ne fonctionnera pas bien et que cette phrase ne paraîtra pas sur mon blog…)

Ainsi, ma fin de course fut un long footing au cours duquel je profitais du paysage bucolique sur ces sentiers forestiers bordés de maisons de pierre.

Mais, à défaut de performances sportives, j’ai eu l’occasion après la course de dédicacer mes tout premiers livres ce qui n’est pas rien !

Les peillonnais en stratégie d'équipe

1 commentaire:

  1. Antoine, Rassure-toi, je ne t'ai pas vu en course mais j'ai eu beaucoup de plaisir à te retrouver à l'arrivée et pour ta dédicace. Dès ce soir je te dévore...euh ! Rassure-toi encore : je dévore ton livre....Chantal

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