D’un point de vue purement
météorologique, les semaines se suivent et se ressemblent en ce début
d’automne. Ainsi, tel que ce fut le cas au grand prix du Mont Boron il y a deux
semaines, la pluie dominicale a vite disparu au profit d’un soleil, timide
certes, mais soleil tout de même.
Annulé l’an dernier pour cause de
tempête, à l’instar du marathon new yorkais la semaine passée, la course
monégasque du Larvotto a ouvert ce matin la saison des cross sur la côte d’azur.
Lors de mon échauffement, un
automobiliste distrait, ou particulièrement misanthrope, roula dans une flaque
d’eau à mon passage provoquant mon mécontentement que je manifestais par
quelques insultes bruyamment prononcées, qui si elles furent inefficaces n’en
étaient pas moins salvatrices.
Avec plus d’un short dans mon
sac, c’est vêtu d’une tenue sèche que je pris le départ de cette course de 6,3
kilomètres sur un circuit à parcourir quatre fois accompagné de 74 autres messieurs des
catégories espoirs à vétérans (18 à 99 ans), dont Robert, l’autre représentant
de « Courir à Peillon ».
Le parcours n’est pas
spécialement difficile mais nécessite de relancer après le passage dans la
sable de la plage du Larvotto suivi d’une brève côte pour remonter sur l’avenue
Princesse Grâce rapide et rectiligne.
C’est l’honorable Michel Peysson
qui franchira la ligne en dernier dans un respectable temps de 55 minutes, cet habitué des
courses locales en est aussi le doyen du haut de ses 77 ans !
Après ces messieurs, ce fut aux
dames de s’élancer pour 4,7 kilomètres, puis les ados et les enfants. Au total
7 courses ont eu lieu en cette matinée pour les 222 participants.
le départ des hommes |
le passage sur la plage |
Michel PEYSSON |
Toutes les photos sont l'oeuvre de Claude EYRAUD, vous pouvez retrouver l'intégral de son reportage sur son blog : Claude Monaco en cliquant là.
Bravo cousinou!!
RépondreSupprimerscreugneugneu à l'autommobiliste
bravo à Michel Peysson!!
et l'épreuve du sable devait être bonne pour les mollets
bisous
Merci cousinette. Je ne manquerais pas d'aller transmettre tes félicitations à Michel la prochaine fois que je le vois.
SupprimerCher Antoine, tu es un héros ! Aller jusqu'à Monaco pour à peine plus de 6 kilomètres, enfoncer ses chaussures dans du sable (même l'été pieds nus c'est insupportable) repasser 4 fois au même endroit et en plus avec une météo incertaine... mais c'est invendable cette course ! En plus, je suppose que vous avez payé une inscription. Héros maso, mais héros quand même ;-)
RépondreSupprimerClaudio, cette course est gratuite elle compte aussi dans le challenge club, ceci explique cela.
SupprimerMais il est vrai que l'on peut parfois ce demander quelle mouche pique donc le dimanche matin ces sportifs qui se lèvent, parfois plus tôt qu'en semaine pour aller transpirer à 20 kilomètres de la maison !
Boudiou il est magnifique ce nouveau blog !
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