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lundi 25 juin 2018

J’AI TOUJOURS CETTE MUSIQUE DANS LA TÊTE


Il est assez rare que je dise du mal des livres que je lis, je préfère éventuellement m’abstenir d’un billet de blog, mais là, on atteint des sommets de nunuches alors que j’avais plutôt apprécié le précédent roman d’Agnès Martin-Lugand.

Yanis et Véra filent le parfait amour depuis des années, ils en ont fait trois enfants avec des prénoms improbables pour bien marquer le côté bobo parisien. Yanis travaille avec Luc, le frère de Véra, mais si l’un respire la joie de vivre l’autre et aussi ennuyeux qu’un dîner en tête à tête avec un agrégé d’économie, c’est dire s’il est chiant.

Bon du coup ils s’engueulent, Yanis donne sa démission et se lance dans une carrière d’architecte indépendant sans le moindre diplôme, mais un client avec qui il a sympathisé lui fait une confiance aveugle et met des billes dans l’affaire. Il s’appelle Tristan mais n’a pas d’Iseult, genre grand solitaire taciturne et généreux qui devient volubile après la première bouteille d’apéro.

Forcément Yanis et Tristan deviennent copains comme cochons en même temps que Tristan bosse comme un forcené. Véra fait un peu la gueule parce qu’elle se tape tout le boulot avec les trois lardons qui mettent un boxif du feu de Dieu. Elle craque un peu.

Parallèlement à tout ça, Charlotte, la meilleure amie de Véra, avec qui elle déjeune tous les mardis midi, fait aussi la gueule mais on ne sait pas pourquoi. Enfin, j’ai une petite idée.

J’ai arrêté de lire quand tout ce beau monde est parti en vacances en Normandie dans la maison de Tristan.

Logiquement, après ils vont divorcer et beaucoup pleurer. Peut-être se rabibocher pour que ce soit dans la logique du mielleux.

On va sans doute découvrir que Charlotte roucoule avec Luc puisque depuis la démission de Yanis elle n’a cessé d’en dire du bien alors qu’avant elle ne pouvait pas le blairer.

Bref, c’est un bouquin qu’on peut éviter de le lire.

Et toc.





dimanche 17 juin 2018

SOUVENIR JEAN-SASSONE ET PRÉCÉDENTES AVENTURES.


Huit jours déjà que la grande équipe de Courir à Peillon organisait sa dixième édition de la Monta Cala, sur un nouveau parcours, et son troisième trail. D’un avis général, les concurrents furent satisfaits tant du tracé que de l’organisation ce qui est toujours agréable à entendre, quand bien même un changement de circuit ne fait jamais l’unanimité. L’équipe a tout lieu d’être satisfaite de sa prestation

2018 avec le soutien de ses partenaires et particulièrement du Maire de Peillon très présent et actif dans cette journée sportive et conviviale.

Au même moment, se déroulait la première No Finish Line de Nice, une compétition sur circuit se déroulant sur cinq jours au profit de projets en faveur d’enfants défavorisés ou malades. Chacun coure ou marche pendant son temps disponible, un euro par kilomètre parcouru étant reversé au profit des différents projets. Malgré le temps nécessaire à l’organisation de sa course, l’équipe de « Courir à Peillon », sensible à la cause, n’a pas manqué de participer quelques heures (54 kilomètres au total pour Nathalie H. sous l’étiquette de l’Hôpital Sainte Marie, 42 pour Jean-Claude).

Huit jours se passent et l’équipe Peillonnaise est à nouveau sur tous les fronts sportifs. Franck, Julien, Dorothée et Nathalie H. sur les dix kilomètres de Fréjus, Laureen, Véronique, Carole et Sandrine sur les douze kilomètres du Trail de la Vésubie, Alain sur les vingt-cinq kilomètres de ce même trail, tandis que Chantal arpentait les pentes de Châteauneuf de Grasse.

Quant aux concurrents des quarante-cinq kilomètres de cette même épreuve, ils connurent des fortunes diverses. Nathalie D., faute d’avoir pu s’entraîner comme elle l’aurait souhaité pour raisons professionnelles, dût quitter la course au premier pointage pour une arrivée hors délai, Fabrice et Nicolas en revanche furent victimes de la météo, les organisateurs ayant décidés de stopper l’épreuve en raison des risques d’orages. Si l’on comprend leur déception, nous ne pouvons que nous plier à la décision.

Enfin, c’est au départ du Parc Estienne d’Orves avant d’arpenter les collines des Saint-Pierre de Féric que je retrouvais Sébastien H., et Aurélie pour le souvenir Jean-Sassone, course revenant au calendrier après une année d’interruption.

C’est avec un calme de sportive chevronnée qu’Aurélie abordait cette nouvelle compétition, non sans avoir scruté ses rivales du jour tout en feignant, stratège, de s’intéresser à ces dames. Lorsque le départ fut donné, Aurélie ne cessera de lutter pour tenir la dragée haute à ses adversaires. Pragmatique dans l’effort, elle tiendra son rang dans la lutte acharnée pour le podium et, à force de volonté et de lutte, conservera sa place et obtiendra le trophée convoité.

Sébastien, pour sa part, se classe septième avec la même hargne.

Peillon en conciliabule

Aurélie triomphale


dimanche 10 juin 2018

Jean Poiret "Une vache à mille francs" | Archive INA

Une petite chansonnette en ce dimanche soir, cela date de 1966 et ça raconte en substance que le prix de la viande et la rémunération des intermédiaires ne date pas de la semaine dernière !