J’ai pour habitude de ne pas parler d’un livre que je n’ai
pas aimé si l’auteur est méconnu.
Si l’auteur est connu, ma foi, bien que je ne doute pas de l’aura
de mon blog, il est peu probable que je lui fasse ombrage et préjudice.
Michel Field faisant partie des auteurs connus, je peux
affirmer sans scrupule que son roman Le soldeur, paru l’an dernier, et dont j’ignore
comment il est arrivé entre mes mains, a été une lecture ennuyeuse, fastidieuse
et sans intérêt.
Il me semblait qu’un roman était censé raconter une
histoire, peut-être cela arrive-t-il plus tard dans le roman car j’ai capitulé
au bout de la soixantième page sur 349.
Voyez que je suis bon avec vous, lecteurs assidus de ce blog,
je viens de vous faire économiser vingt euros !
En revanche, si vous aimez la masturbation intellectuelle,
vous allez adorer ! (Je peux vous offrir mon exemplaire)
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