Cinq semaines avant le marathon
de Nantes, la traditionnelle course Vintimille-Monaco à laquelle je participe
pour la troisième année consécutive sur cinq éditions, faisait figure de test.
Cette année, le vent mêlé à un
peu de pluie durcissait le parcours à la fois agréable et vallonné, et si Éole nous poussait à Menton, il nous fit face dans la montée du Cap Martin rendant l’ascension
difficile.
Les coureurs peillonnais,
désormais de noir vêtus (short vert en option), se présentaient en nombre et
forcément de bonne humeur sur la course italo-monégasque.
Séverine, qui prend goût aux
distances longues, toujours accompagnée avec bienveillance par son compagnon,
que je précédais à mon rythme marathonien, tandis que devant moi Greg,
Sébastien et le Président Juju affrontaient également les éléments en préparation
de la distance reine.
La fine équipe franchira la ligne
dans des temps honorables et de bon augure pour les marathons à venir (Paris le
12 avril pour les uns, Nantes la semaine suivante pour les autres).
NB : Ces 24 kilomètres-là étaient ceux de ma 250e course, en un peu plus de 14 ans.
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