Après l’alerte météo orange de l’an
passé qui à juste titre n’avait découragé ni les organisateurs ni les
participants, le relais s’est déroulé cette année sous de discrets nuages avec
soixante-treize équipes inscrites, dont six de Courir à Peillon, sommairement
appelées « Courir à Peillon 1, 2, 3, 4, 5 et 6 ».
Puisqu’on ne change pas une
équipe qui gagne plus qu’une autre, c’est avec les mêmes acolytes que l’an
dernier, Chantal et Philippe, que je me présentais au départ.
Chacun fit son parcours de quatre kilomètres
et demi du mieux qu’il peut, suivi d’un parcours en trio, donnant un bilan
satisfaisant pour l’équipe qui améliore son chronomètre de deux minutes.
Puis, s’en suivi un apéro parmi
les membres de « Courir à Peillon », offert par Carole, notre
néo-marathonienne du groupe.
Le vice-président, nissart jusqu’au
bout des doigts, bien qu’il soit natif d’Alsace, nous expliquait les origines
du pan bagnat, un sandwich dans un pain rond, garni d’huile d’olive, de thon ou
d’anchois, et de légumes crus du jardin (à l’origine c’est un sandwich de
pauvre, quand bien même il coûte un bras dans les sandwicheries niçoises). Notons
que dans le sud, huile d’olive est un pléonasme au même titre que beurre salé
en Bretagne.
Ainsi rassasiés par cet exposé
régionalo-gastronomique, le temps était venu de nous nourrir du dit pan bagnat.
Grég, Aurélie et Sébastien à l'arrivée (photo Fabrice) |
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