Rome, ce 10 avril devait être mon
onzième marathon et ma préparation permettait de penser qu’il pourrait être un
marathon record malgré les pavés du parcours et la succession de faux plats.
Hélas, seulement treize jours
avant la course une douleur aux quadriceps est venue contrarier cet objectif.
J’ai donc pris le départ à côté
du Colisée Romain avec huit autres camarades de club (dont deux néo-marathoniens)
sans conviction malgré l’avis médical rassurant.
Comme je m’y attendais, la
première douleur s’est fait ressentir au dixième kilomètre et m’a contraint à l’abandon
au treizième.
N’étant pas de nature à me
laisser dicter ma conduite par un quadriceps (qui plus est de droite) j’ai
décidé de programmer un nouveau marathon cet automne, à Toulouse probablement.
Hors cela, ce week-end amplement
prolongé fut l’occasion de revisiter Rome avec ma bien-aimée et une bande de
joyeux drilles peillonnais ce qui n’a rien de désagréable !
Séverine et Thierry, heureux après leur premier marathon |
Après l'effort, le réconfort |
Le quadriceps de droite est bien pire que le pavé de gauche, donc. Je retiens.
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