« Ils étaient partis en
chahutant. J’avais appris qu’ils faisaient encore les pitres dans la voiture.
Je m’étais dit qu’ils étaient morts en riant. »
Dès les premières pages du roman
de Agnès Martin-Lugand le décor est fixé et le thème de la mort est présent. Pourtant
le livre n’est pas oppressant, le style est fluide et actif.
Diane, après la mort accidentelle
de son mari et leur fille doit réapprendre à vivre avec le soutien de son
associé fantasque et l’incompréhension de ses parents et beaux-parents.
Après la période de la colère, du
chagrin vient la reconstruction que la narratrice ira chercher en Irlande.
Je l'ai lu à sa sortie. Bon choix et bon souvenir. Mais, regardant la couverture, je me disais en permanence, étonné... et ils fument aussi ?
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