Pour la deuxième année
consécutive, Courir à Peillon était représentée par une dizaine de coureurs au
vingt kilomètres de la capitale avec des objectifs variés, battre le record du
club (et ce fut fait), préparer un marathon, se faire plaisir, courir en couple
ou reprendre la compétition après une blessure.
Ainsi, la fine équipe abordait la
capitale dans la bonne humeur et sous la gestion un tantinet directive de notre
néanmoins amie Dorothée.
Un village départ de course, pour
les non-initiés est un espace où l’on prend son dossard pour la compétition du
lendemain, récupère son tee-shirt et où les partenaires de l’évènement tiennent
boutique pour promouvoir leur propre compétition où leur gamme de produit
sportif notamment textile. Il est donc une assez mauvaise idée de fréquenter
cet endroit avec quatre femmes, si sympathiques soient-elles, si l’on ne veut
pas y rester une heure.
C’est à retenir pour la prochaine
fois.
Le soir, c’est dans un restaurant
du XIIIe arrondissement (1) que nous avons pris notre collation, presque
raisonnablement, disons adaptée à nos objectifs sportifs du lendemain.
Pour la course en elle-même, le
résumé de Dorothée à lire ici :
Comme l’an passé, l’équipe courrait
pour le Cluster Maritime en soutien aux sauveteurs en mer, bénéficiant ainsi de
sa logistique dont une péniche devant le Pont d’Iéna, point de départ de la
course.
Le temps du retour ferroviaire
fut vite arrivé, tout juste le temps de boire une bière Gare de Lyon. Un voyage
occupé par de nombreuses parties de tarots et retardé par un TGV ayant heurté
un animal sans qu’il ne nous soit précisé s’il s’agissait d’un lapin de garenne
ou d’une antilope des Cévennes.
Pendant ce temps-là, Peillon
brillait à Gorbio et Gairaut, tant individuellement que par équipe.
La semaine suivante, ce dimanche
donc, c’est sur la colline du Mont Boron et ses vues imprenables sur Nice et
Villefranche que les verts et noirs se retrouvaient. Cadets et Juniors
ouvraient le bal sur trois kilomètres et l’équipe complète de notre Pôle Espoir
brillaient sur le parcours avec Mathilde, Laureen et Luca.
Après les adultes, les enfants courraient sur un
kilomètre et Téa, représentante de la toute nouvelle Académie Courir à Peillon,
remportait la course des filles
Retour de Paris avec nos beaux tee-shirts |
(1) Le temps
des cerises, 18 rue de la Butte aux Cailles, qui pourra faire l’objet d’un
billet de blog à lui seul
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire