Certes, ma troisième
participation au semi-marathon de Cannes a eu lieu il y a déjà huit jours mais
je n’ai jamais eu la prétention de rédiger systématiquement mon blog en direct,
d’autant que les journées n’ont que deux bras.
Courir à Peillon était venu en
force sur la Croisette avec quarante participants sur les deux courses du jour (dix kilomètres et semi-marathon) malgré une météo peu réjouissante.
Ce sont d’abord les coureurs du
dix kilomètres qui s’élançaient, encouragés par ceux de la double distance qui
après leur échauffement prennent place sur la ligne sans attendre.
Incertain sur ma condition, la
course fera figure de test avant la préparation du marathon et pour l’heure
j’accompagne Sandrine, nouvelle venue dans l’équipe et habituée des trails,
courant pour l’occasion sa première course sur route, un peu affolée par le
nombre de participants.
L’avantage de Cannes et son
parcours en aller-retour est que l’on peut encourager les copains chaque fois
que nous les croisons ce qui est toujours agréable et parfois revigorant quand
l’un d’entre nous est en difficulté. Naturellement, notre public lui aussi nous
acclame en liesse à plusieurs reprises.
À l’arrivée, je me satisfais de
mon temps d’une heure trente-huit, me permettant d’envisager un marathon
tchèque en moins de trois heures trente. J’apprends aussi que les copains
réalisent de bons résultats chacun en ce qui les concerne, des performances
rassurantes pour les uns, des records personnels pour d’autres, deux records du
club et deux podiums !
Quant à Sandrine, elle finit dans
la douleur en à peine un peu plus de deux heures, seuil qu’elle franchira sans
problème à la prochaine occasion après une bonne préparation.
Donc de quoi passer un bon moment
au restaurant après la course !
Quelques peillonnais, avant la course |
En plein effort et souriant (photo Claude Eyraud) |
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