Il ne faut pas s’y tromper, une
course longeant le bord de mer n’est pas forcément une course sans dénivelé.
Ainsi, entre Nice et Monaco, le
semi-marathon, également nommé « Course du Soleil », connait deux raisonnables
côtes, la première dès le premier kilomètre reliant le port de Nice à la Basse
Corniche, et la longue pente avant le Cap d’Ail, mais aussi un escalier entre
la plage de Villefranche à l’entrée de Saint Jean Cap Ferrat.
Imaginer courir à vitesse
régulière pour battre son record sur 21,100 kilomètres relève alors d’une
authentique gageure.
Fort heureusement, la relative
douceur météorologique permettait aux 1 300 coureurs de crapahuter dans un
décor des plus agréables en traversant les différentes communes du parcours. Boulevard
Princesse Grâce, Rade de Villefranche sur Mer, Promenade Rouvier et place David
Niven à Saint Jean Cap Ferrat, Beaulieu, Eze et Cap d’Ail avant l’arrivée au
stade Louis II à Monaco.
Quand à ma course… Euh, je ne m’étendrais pas
sur le sujet…
Christine en route vers son podium malgré son rhube ! (photo Franck P) |
C'est vrai que s'est une belle course. L'avantage, c'est qu'on n'est pas obligé de courir pour le chrono, il y a aussi le plaisir des yeux... Objectif : Marathon de Milano ;-) David L
RépondreSupprimer"deux raisonnables côtes" : c'est ça qu'on appelle un euphémisme, je crois.
RépondreSupprimerSalut la foule en délire!
RépondreSupprimer.
Boire un monaco à Nice, ce n'est pas mal non plus comme sport...
C'est une très belle course, avec cette année un temps splendide, et l'essentiel est d'y avoir pris du plaisir, et même si la beauté du paysage t'a parfois peut-être un peu freiné quelle importance ;-)
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