Huit jours déjà que la grande
équipe de Courir à Peillon organisait sa dixième édition de la Monta Cala, sur
un nouveau parcours, et son troisième trail. D’un avis général, les concurrents
furent satisfaits tant du tracé que de l’organisation ce qui est toujours
agréable à entendre, quand bien même un changement de circuit ne fait jamais l’unanimité.
L’équipe a tout lieu d’être satisfaite de sa prestation
Au même moment, se déroulait la
première No Finish Line de Nice, une compétition sur circuit se déroulant sur cinq
jours au profit de projets en faveur d’enfants défavorisés ou malades. Chacun coure
ou marche pendant son temps disponible, un euro par kilomètre parcouru étant
reversé au profit des différents projets. Malgré le temps nécessaire à l’organisation
de sa course, l’équipe de « Courir à Peillon », sensible à la cause,
n’a pas manqué de participer quelques heures (54 kilomètres au total pour
Nathalie H. sous l’étiquette de l’Hôpital Sainte Marie, 42 pour Jean-Claude).
Huit jours se passent et l’équipe
Peillonnaise est à nouveau sur tous les fronts sportifs. Franck, Julien, Dorothée
et Nathalie H. sur les dix kilomètres de Fréjus, Laureen, Véronique, Carole et
Sandrine sur les douze kilomètres du Trail de la Vésubie, Alain sur les
vingt-cinq kilomètres de ce même trail, tandis que Chantal arpentait les pentes de Châteauneuf de Grasse.
Quant aux concurrents des
quarante-cinq kilomètres de cette même épreuve, ils connurent des fortunes diverses.
Nathalie D., faute d’avoir pu s’entraîner comme elle l’aurait souhaité pour
raisons professionnelles, dût quitter la course au premier pointage pour une
arrivée hors délai, Fabrice et Nicolas en revanche furent victimes de la météo,
les organisateurs ayant décidés de stopper l’épreuve en raison des risques d’orages.
Si l’on comprend leur déception, nous ne pouvons que nous plier à la décision.
Enfin, c’est au départ du Parc
Estienne d’Orves avant d’arpenter les collines des Saint-Pierre de Féric que je
retrouvais Sébastien H., et Aurélie pour le souvenir Jean-Sassone, course revenant
au calendrier après une année d’interruption.
C’est avec un calme de sportive chevronnée
qu’Aurélie abordait cette nouvelle compétition, non sans avoir scruté ses rivales
du jour tout en feignant, stratège, de s’intéresser à ces dames. Lorsque le
départ fut donné, Aurélie ne cessera de lutter pour tenir la dragée haute à ses
adversaires. Pragmatique dans l’effort, elle tiendra son rang dans la lutte
acharnée pour le podium et, à force de volonté et de lutte, conservera sa place
et obtiendra le trophée convoité.
Sébastien, pour sa part, se
classe septième avec la même hargne.
Peillon en conciliabule |
Aurélie triomphale |
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