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dimanche 17 juin 2018

SOUVENIR JEAN-SASSONE ET PRÉCÉDENTES AVENTURES.


Huit jours déjà que la grande équipe de Courir à Peillon organisait sa dixième édition de la Monta Cala, sur un nouveau parcours, et son troisième trail. D’un avis général, les concurrents furent satisfaits tant du tracé que de l’organisation ce qui est toujours agréable à entendre, quand bien même un changement de circuit ne fait jamais l’unanimité. L’équipe a tout lieu d’être satisfaite de sa prestation

2018 avec le soutien de ses partenaires et particulièrement du Maire de Peillon très présent et actif dans cette journée sportive et conviviale.

Au même moment, se déroulait la première No Finish Line de Nice, une compétition sur circuit se déroulant sur cinq jours au profit de projets en faveur d’enfants défavorisés ou malades. Chacun coure ou marche pendant son temps disponible, un euro par kilomètre parcouru étant reversé au profit des différents projets. Malgré le temps nécessaire à l’organisation de sa course, l’équipe de « Courir à Peillon », sensible à la cause, n’a pas manqué de participer quelques heures (54 kilomètres au total pour Nathalie H. sous l’étiquette de l’Hôpital Sainte Marie, 42 pour Jean-Claude).

Huit jours se passent et l’équipe Peillonnaise est à nouveau sur tous les fronts sportifs. Franck, Julien, Dorothée et Nathalie H. sur les dix kilomètres de Fréjus, Laureen, Véronique, Carole et Sandrine sur les douze kilomètres du Trail de la Vésubie, Alain sur les vingt-cinq kilomètres de ce même trail, tandis que Chantal arpentait les pentes de Châteauneuf de Grasse.

Quant aux concurrents des quarante-cinq kilomètres de cette même épreuve, ils connurent des fortunes diverses. Nathalie D., faute d’avoir pu s’entraîner comme elle l’aurait souhaité pour raisons professionnelles, dût quitter la course au premier pointage pour une arrivée hors délai, Fabrice et Nicolas en revanche furent victimes de la météo, les organisateurs ayant décidés de stopper l’épreuve en raison des risques d’orages. Si l’on comprend leur déception, nous ne pouvons que nous plier à la décision.

Enfin, c’est au départ du Parc Estienne d’Orves avant d’arpenter les collines des Saint-Pierre de Féric que je retrouvais Sébastien H., et Aurélie pour le souvenir Jean-Sassone, course revenant au calendrier après une année d’interruption.

C’est avec un calme de sportive chevronnée qu’Aurélie abordait cette nouvelle compétition, non sans avoir scruté ses rivales du jour tout en feignant, stratège, de s’intéresser à ces dames. Lorsque le départ fut donné, Aurélie ne cessera de lutter pour tenir la dragée haute à ses adversaires. Pragmatique dans l’effort, elle tiendra son rang dans la lutte acharnée pour le podium et, à force de volonté et de lutte, conservera sa place et obtiendra le trophée convoité.

Sébastien, pour sa part, se classe septième avec la même hargne.

Peillon en conciliabule

Aurélie triomphale


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