Ce qui est bien avec Fred Vargas,
c’est que ses romans ne sont pas que de polars mais un ensemble de personnages
aux personnalités aussi mystérieuses que différents avec en point d’orgue, l’anti-héros
Jean-Baptiste Ademsberg.
« L’homme à l’envers » débute
dans le cœur du Mercantour, là où le loup fait débat et secoue l’imaginaire des
hommes, avant que l’aventure ne se concentre entre un canadien spécialiste des
grizzlys, une parisienne perdue et amoureuse, un berger taciturne et un fils adoptif
inventant des légendes africaines. Adamsberg et son lieutenant Danglard étant relégués
aux seconds rôles.
Vargas mêle encore une fois l’humour
et l’intrigue tout en brisant les codes du polar classique.
Un savoureux moment de lecture.
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