J’ai une affection particulière pour
le semi-marathon de Cannes, ce fût mon premier semi, on partait à l’époque du
Boulevard du Midi mais il est devenu inutile à mon âge d’être précis sur les
dates.
Désormais, c’est un rendez-vous
sur la Croisette et nombreux sont les verts et noirs de Courir à Peillon à être
au rendez-vous, quarante-cinq cette année, avec des résultats très satisfaisants
malgré les microbes, virus, blessures et autres qui ont contrarié nombre de
préparations.
Pour autant, pas moins de deux podiums
à la clé ainsi qu’un record club sur le dix kilomètres (il y avait trois distances
au programme : cinq, dix et vingt et un), et c’est à chaque fois ces dames
qui figurent au tableau d’honneur.
En ce qui me concerne, je partais
sur la base d’une heure quarante avec l’idée d’accélérer à la mi-course, pour « voir
ce que ça donnait ». La stratégie fut satisfaisante, puisque je maintenais
mon accélération jusqu’à l’arrivée, franchie après une heure trente-sept de
course, seulement une minute de plus qu’en 2009, là je peux être précis sur les
dates !
Tout cela est de bon augure pour
le marathon qui se profile, sauf qu’à l’heure de raconter mes prouesses (huit
jours après), toutes mes précédentes blessures se sont rappelé à mon bon
souvenir (coude, cuisse et genou). Dés demain je prends rendez-vous avec mon
médecin du sport qui devrait mettre en place une carte de fidélité…. (Pour les
gens de mon âge ?).
Et si nous étions quarante-cinq
sur la course, nous étions aussi trente-trois au traditionnel restaurant d’après
l’effort.
Mathilde, Angélique et Julien sur le Semi |
Carole et Titi, solidaires |
L'équipe du semi-marathon |
ça c'est huit jours plus tard à Falicon, cela n'a rien à voir avec Cannes, mais j'adore la photo et je fais ce que je veux, c'est quand même mon blog. |
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