Avant-dernière pour les uns,
dernière pour les autres, selon que l’on est choisi ou non d’aller escalader le
col de la Bonette dimanche prochain, Les foulées biotoises sentaient bon l’ambiance
de fin d’année pour « Courir à Peillon », en nocturne dimanche
dernier.
Pas moins de onze représentants
du club s’étaient retrouvés pour affronter le circuit vallonné de la cité des
verriers, qui est plus difficile qu’un tour de stade.
Cela faisait plusieurs années que
je n’étais pas venu courir à Biot, lors de mes précédentes participations je n’étais
encore qu’un débutant, cela remonte à …. 2001 et 2002 !
Cette année, pas de performances
exceptionnelles, pour au moins trois raisons :
LA CHALEUR : Avec trente degrés Celcius
au thermomètre, je n’ai donné qu’une seule consigne de course à mes athlètes
disciplinés et consciencieux : arrêtez-vous à tous les ravitaillements !
LA RÉSERVE : huit jours
avant le col de la Bonette, 27 kilomètres, 1 600 mètres de dénivelés, l’arrivée
étant jugée à 2 802 mètres d’altitude, il convenait de ne pas faire le
malin.
LA CONTRARIÉTÉ : Bien sûr,
je n’avais de pensées que pour ma bien-aimée, accidentée le matin même en
faisant son footing, elle m’avait amoureusement incité à aller courir malgré
tout. Depuis, elle va mieux et sortira de l’hôpital après-demain (jeudi) pour
une convalescence de trois semaines dans l’arrière-pays.
Puis s’en est joyeusement suivi
la Paëlla Party, et j’ai pu vérifier, bien que je n’en doutais point, que les
peillonnais suivaient scrupuleusement mes consignes d’hydratation !
"Courir à Peillon" en force à Biot (photo Marc W.) |
Quanq os intrainons des gins à courir, os berzillons mie ech bros ed not fanme qui court. Mais apré quoé, o qui, qu'ale couroait ?
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