C’est le rendez-vous traditionnel
de début d’année sur la Côte d’Azur, malgré un dossard toujours aussi cher, une
organisation toujours aussi impersonnelle et froide et des mesures de sécurité
que l’on peut qualifier désormais « à la niçoise » c’est-à-dire
aussi lourde qu’exagérée. Mais bon, tout cela n’est que mon avis et je le
partage volontiers avec moi-même.
Pour autant, la Prom’Classic, de
retour sur la Promenade des Anglais après un épisode sur la voie rapide, est un
rendez-vous traditionnel pour les coureurs azuréens, permettant d’évaluer le
niveau de forme après les marathons d’automne et/ou les fêtes de fin d’année.
Ce matin, la pluie un temps prévu
a cédé sa place au vent rendant la deuxième partie de course particulièrement
difficile à tel point que les entraîneurs doivent prendre le temps
intermédiaire à la mi-course pour avoir une idée du niveau de forme des
athlètes sur dix kilomètres !
Malgré les grippes,
gastro-entérites et autres bobos, Courir à Peillon présentait une trentaine de
coureurs valides avec des résultats très satisfaisants, quelques records
individuels (malgré le vent) et des sourires à l’arrivée ce qui vaut tout l’or
du monde.
Pour ma part, trente-et-unième
dix kilomètres et onzième Prom’Classic, (record personnel en 2013 en 40’52’’) aujourd’hui 44’52’’ dont 21’30’’ sur les cinq premiers kilomètres et 23’22’’
sur les cinq suivants. Saleté de vent ! C’est plutôt correct conclurai-je
avec autosatisfaction.
Félicitations particulières pour Dorothée, Olivia, Anne-Marie et Emmanuelle (sympathisante du club).
Comme le veut l'usage, nous avons ensuite narré nos exploits devant un petit noir en terrasse.
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