Lorsque j’étais enfant, cette
inscription « SAUVER OU PÉRIR » sur l’insigne de pompiers m’impressionnait.
Aujourd’hui elle prend tout son sens avec deux récentes tragédies chez les soldats
du feu.
En Savoie, lors d’un sauvetage dans
le cadre de la tempête Éleanor, un pompier volontaire de 63 ans est tombé à l’eau,
son corps a été retrouvé le lendemain.
Dans le Pas-de-Calais, deux pompiers
ont péri dans l’incendie d’une maison sans pouvoir sauver les deux adolescents qui
se trouvaient prisonniers des flammes.
Toute ma compassion et mon
soutien vont à ces hommes et femmes courageux dont la vocation remonte souvent
à la plus tendre enfance, ainsi qu’à celles et ceux qui projettent aujourd’hui
d’y consacrer leur vie.
Photos AFP (P.HUGHUEN) |
Oui ! Respect total pour ces femmes et ces hommes ! J'ai eu en élevage un p'tit "pimpon" de 4 ans qui a bien grandi, et qui passe tout son temps libre en formations, interventions, manœuvres... avec tant d'autres collègues.
RépondreSupprimerChapeau bas, bravo.