Si le champion du Monde en titre
Peter SAGAN a remporté Paris-Roubaix en mêlant prise de risque, opportunisme et
tactique comme il sait le faire, l’homme du jour, à mon sens, est le champion
de Suisse Silvan DILLIER, deuxième de l’épreuve.
Parti dans l’échappée dite
matinale avec huit autres comparses, il fut rejoint par le slovaque SAGAN, qui
avait lancé les hostilités avec les autres favoris à plus de cinquante
kilomètres de l’arrivée, sans capituler ni suivre le futur vainqueur.
Malgré les longues heures d’échappées,
Silvan DILLIER, sur qui personne n’avait misé un franc suisse, a pris ses
responsabilités en partageant les relais avec SAGAN
Le champion du Monde s'en inquiétera alors qu'il pensait sans doute finir la course seul et non en compagnie d'un coureur ayant débuté sa carrière sur la piste, l’arrivée de Paris-Roubaix ayant traditionnellement lieu sur le vélodrome nordiste.
Le champion du Monde s'en inquiétera alors qu'il pensait sans doute finir la course seul et non en compagnie d'un coureur ayant débuté sa carrière sur la piste, l’arrivée de Paris-Roubaix ayant traditionnellement lieu sur le vélodrome nordiste.
Mais son passé de pistard n’a pas
suffi et le slovaque s’est imposé au sprint.
Pour autant sa performance méritait
bien un clin d’œil sur mon modeste blogounet.
L |
Photo Ouest-France |
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