L’OMBRE DE STALINE :
de Agnieska Holland, avec James Norton, Vanessa Kirby, Peter Sarsgaard
En 1933, Gareth Jones est un
journaliste britannique qui après avoir interviewé Hitler, souhaite réitérer
avec Staline. Il découvre vite que les journalistes occidentaux sont muselés et
ne peuvent quitter Moscou. Son contact a été assassiné après avoir découvert le
sort de l’Ukraine et décide de s’y rendre.
A travers l’histoire de Gareth
Jones ce biopic évoque la propagande soviétique et la tragédie de la famine
ukrainienne provoquant des millions de morts dans les années 1930. Le récit
qu’en rapporte Jones inspirera « La ferme des animaux » à George
Orwell.
ÉTÉ
85 : de François Ozon, avec Benjamin Voisin, Félix Lefebvre, Valérie
Bruni-Tedeschi
L’adolescence, la passion, les
serments, l’amitié, les doutes.
Sans cliché et avec pudeur,
François Ozon dresse un portrait subtil d’une tranche d’âge complexe.
LE BONHEUR DES UNS :
de Daniel Cohen, avec Vincent Cassel, Bérénice Béjo, Florence Foresti, François
Damiens.
Une vendeuse de prêt-à-porter
révèle a ses proches qu’elle écrit un livre, personne ne la prend au sérieux
jusqu’à ce que le livre paraisse et soit un succès.
Finalement les avis divergent, j’ai
beaucoup aimé le thème de l’épanouissement personnel que chacun a besoin de
trouver (parce que ça me parle, certainement aussi), ainsi que la jalousie que suscite
la réussite et aussi le personnage parfaitement insupportable de Vincent Cassel
en mari jaloux et macho au point d’en être touchant parce que mal dans sa peau.
En revanche, mon amoureuse était moins enthousiaste, trouvant le film sans
émotion (elle exagère je trouve) mais avait passé un bon moment grâce à l’humour
des dialogues.
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