Les gens de lettres répondent à cela par une longue définition :
"La métaphore, du latin metaphora, lui-même du grec μεταφορά (metaphorá, au sens propre, transport), est une figure de style fondée sur l'analogie et/ou la substitution. C'est un type particulier d'image sans outil de comparaison qui associe un terme à un autre appartenant à un champ lexical différent afin de traduire une pensée plus riche et plus complexe que celle qu'exprime un vocabulaire descriptif concret." (source Wikipédia)
Michel Audiard, nous donne un exemple de la vie courante -si j'ose dire- dans "Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages" (1968)
Dans les années 30, Colette Renard usait également de métaphores pour évoquer ses nuits. (Âmes sensibles s'abstenir, ndla)
En plus moderne, la version 2.0 de Jeanne Cherhal :
Il n'aura échappé à personne que ce blog prend une tournure culturel et pédagogique. Ne me remerciez pas, ça me fait plaisir.
Bojour min gars,
RépondreSupprimerL'fanme à Jules, ale sait causer. Pi, ale s'in faoit faoire des coses. Ej pinse qu'ale doét ainmer l'ivèr.
Dis mi, "j'o des castroles ach tchu", jou unne métaphore ?
A propos de casseroles, si j'ai bien compris votre lecteur, pourrions-nous commencer à nous cotiser pour renflouer les caisses du petit qui va donner des meetings ?
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